Coach Professionnelle Certifiée

Développement Personnel – Accompagnement pour Femmes Atypiques

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Développement Personnel – Accompagnement pour Femmes Atypiques

Je propose un accompagnement sur-mesure pour Femmes Plurielles & Singulières.

Définitions des différents "Hauts Potentiels"

Depuis quelques années, le « Haut Potentiel Intellectuel », « l’Hypersensibilité » ou encore le « Haut Potentiel Émotionnel » sont mis sur le devant de la scène. La bonne nouvelle est que cela laisse présager un développement des études, des recherches, des fonds investis ainsi que de nos connaissances sur ces thématiques ; et par conséquent une amélioration de la qualification des professionnel·les qui seront de mieux en mieux outillé·es pour accompagner ces profils atypiques.

La moins bonne nouvelle qui va de pair avec cet intérêt croissant réside dans le nombre de personnes parfois bien intentionnées mais néanmoins incompétentes, ou encore véritablement malveillantes, qui cherchent à « surfer sur la vague » du HPI ou de l’Hypersensibilité pour se faire connaître, manipuler et gagner de l’argent en utilisant des techniques manipulatoires. Séries, films, livres, bandes dessinées, articles de blog, chaînes YouTube ou Comptes Instagram fleurissent et diffusent du contenu de plus ou moins bonne qualité. Les raccourcis inappropriés et les idées préconçues ne manquent pas.

Une fois de plus, j’en appelle à votre esprit critique, votre discernement, votre curiosité et votre capacité à vous documenter en vue de construire votre propre avis éclairé sur la question.

En outre, certaines personnes nourrissent des représentations défavorables ou des préjugés sur cette thématique, cela provient le plus souvent d’expériences vécues :

• un enfant « étiqueté » précoce/surdoué par un enseignant mal informé qui, faute d’en déduire des conséquences en termes d’adaptation de l’accompagnement, l’a conduit à le négliger voire le discriminer en le traitant comme un « petit génie » ayant la capacité d’être autonome. Cette situation a alors renforcé ce sentiment d’injustice ou de rejet si douloureux chez l’enfant.
• la vulgarisation du sujet du Haut Potentiel et l’effet Barnum associé a pu mener des personnes à « s’auto-proclamer » HPI, ce qui n’a pas manqué de susciter la colère chez des personnes officiellement identifiées comme telles ; souvent celles qui ont mis tant d’années à le comprendre, et ont rencontré (ou rencontrent encore) des difficultés à vivre avec. Ces personnes ont pu se sentir incomprises, invisibilisées, niées dans leur spécificité.

Je me permets de faire un parallèle, que ce soit vis-à-vis du Coaching ou du Haut Potentiel, bon nombre d’entre nous s’interrogent, discréditent – parfois à juste titre – ce qui peut être considéré comme un effet de mode ou une aubaine selon les perceptions.

En toute transparence, j’ai bien conscience que pour certain·es, je n’échappe pas à ce jugement, je comprends cette méfiance que j’ai choisi d’accepter. Je dois reconnaître que je fais coup double et n’ai pas choisi la facilité en m’orientant vers 2 domaines prêtant le flanc à la controverse ! À croire que j’aime les défis…ou bien que j’ai préféré emprunter un chemin qui m’anime, quitte à être critiquée, plutôt qu’exercer un métier socialement valorisé dans lequel je ne trouve pas de sens !

À titre personnel, ce que je choisis de retenir de cette médiatisation est la satisfaction que ce sujet intéresse, soit rendu accessible afin que cela puisse aider le plus grand nombre à mieux se connaître, se comprendre et s’aimer.

Dans les développements qui suivent, je ne cherche nullement à convaincre ou prétendre détenir des vérités, mais plutôt à exposer ce que ces terminologies désignent à mes yeux et ma manière de concevoir ces sujets.
Des avis divergent sur plusieurs points, mes investigations m’ont amenée à me positionner, à préférer la vision de professionnel·les que j’estime compétent·es, expérimenté·es et (in)formé·es.
Par le biais de ces définitions ou de mes accompagnements, je contribue, à mon échelle, à permettre aux personnes qui me font confiance de se sentir plus apaisées, de se réconcilier avec certaines facettes de leur personnalité qu’elles cherchaient – en vain – à faire disparaître.

Pour résumer ma position : partager, échanger, me remettre en question : Oui !
Rentrer en lutte pour convaincre ou chercher à imposer mes idées : Non !

Les différents "Hauts Potentiels"

Le Haut Potentiel Intellectuel

Le Haut Potentiel Sensible

Le Haut Potentiel Émotionnel

01. Le Haut Potentiel Intellectuel

Faute de consensus admis en la matière, je choisis de retenir une définition personnelle et synthétique : le « Haut Potentiel Intellectuel » (HPI) désigne un fonctionnement cérébral différent qui entraîne une perception, une compréhension et une manière d’être au Monde différente. On estime que 2 à 5 % de la population serait concernée.
Les différents termes employés pour désignés ces profils sont : « Haut Potentiel », « HP », « Surdoués », « Zèbres », « Précoces », « Philo-cognitifs », « Surefficients »…

Visible sur les techniques d’imagerie médicales, la douance (= HPI) se matérialise sous la forme d’une plasticité cérébrale et donc d’un fonctionnement neurologique différents.

Les études nous apprennent que le cerveau d’une personne à HPI se caractérise par :
  • Une plus grande activation des régions préfrontale et pariétale postérieures ;
  • Une plus grande connectivité fonctionnelle et anatomique (en particulier entre les deux hémisphères), favorisée par un taux élevé de myéline ;
  • Un plus grand volume.

D’autres spécificités cérébrales permettent aux enfants à HPI de développer une plus grande rapidité d’apprentissage et de réflexion.
Si à l’origine, les capacités cognitives sont supérieures, celles-ci peuvent être renforcées ou réduites en fonction de facteurs socioculturels, environnementaux, psychosociaux, ou plus généralement relevant de l’épigénétique.
De plus, le HPI implique une grande lucidité, une conscience de soi et de ce / ceux qui l’entourent exacerbée. Selon le caractère, cela peut entraîner de la remise en question, des doutes permanents, ce qui constitue alors le terrain de jeu idéal du complexe de l’imposteur.

En soi, le HPI ne créé rien ne nouveau mais agit comme un « exhausteur de goût » de ce qui est déjà présent, de la nature profonde de la personne. Une personne à HPI est susceptible d’être plus rapide, plus intense, plus empathique, plus engagée, plus introvertie, plus productive, plus intéressée, plus persévérante, plus imaginative, plus adaptable, plus fatigable, plus curieuse, plus motivée, plus décalée, plus impactée, plus exigeante, plus idéaliste, plus éveillée, plus à la recherche de sens… (liste non exhaustive et ces caractéristiques ne sont pas nécessairement cumulatives !)

Le HPI n’est pas une liste de critères à cocher mais une façon d’être au monde, avec un mode de fonctionnement spécifique, chaque personne HPI est unique, au même titre que les neurotypiques !

Comment savoir si vous êtes concernée ?

S’agissant de la méthode d’identification du HPI, dans le Monde, de nombreux tests existent, basés sur des méthodes aussi bien qualitatives que quantitatives.

En France, seul le test de QI (Quotient Intellectuel) mesuré par le WAIS IV est reconnu. Ce test ne peut être administré que par des psychologues et neuropsychologues formé·es (qui ont acheté la licence). Selon ce test, on considère qu’il y a douance lorsqu’un adulte présente d’un QI supérieur à 130.

Or, dans l’expression « Haut Potentiel Intellectuel », il y a « Potentiel », ce qui m’amène à penser que la mesure unique du QI à l’aide de tests psychométriques n’est pas adaptée car elle évalue un fonctionnement sur la base de critères de performance, d’instruction ou de réalisation. Or, les résultats sont susceptibles d’être biaisés par un contexte psychosocial défavorable ou encore des expériences traumatiques de nature à altérer (ou ne pas développer) les fonctions cognitives.

C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de me former à une approche différente, reposant sur une analyse qualitative du fonctionnement cognitif et émotionnel.

« L’intelligence,ce n’est pas seulement ce que
mesurent les tests, c’est aussi ce qui leur échappe. »

Edgar Morin

Enfin, je tiens à rappeler qu’il n’est jamais indispensable ou obligatoire de passer un test. Je vous invite d’ailleurs à vous interroger sur les raisons qui motivent ce choix avant de vous lancer afin de clarifier vos attentes. De plus, au-delà du test, j’ai la conviction que votre manière de vivre cette expérience tiendra surtout à la personne que vous choisirez pour vous accompagner dans votre démarche, je vous recommande de la choisir avec soin.

Vous êtes intéressée ?

Je vous invite à consulter le détail ainsi que le déroulement d’un « Bilan Haut Potenti’elle ».

02. Le Haut Potentiel Sensible

Le « Haut Potentiel Sensible »(HPS), également appelé « Hypersensibilité », « Sensibilité élevée », ou encore « Ultra sensibilité  » désigne un trait de caractère inné théorisé dans les années 90 par la psychologue et chercheuse en psychologie américaine Elaine N. Aron. Il concernerait entre 20 et 30 % de la population mondiale.
Il s’agit d’un tempérament distinct caractérisé par une plus grande sensibilité dans le traitement de l’information sensorielle avec :

  • un seuil de détection plus bas (hyperesthésie : forte sensibilité aux lumières, sons, odeurs, contacts physiques, une grande réactivité aux stimuli extérieurs, un sentiment d’hyperstimulation fréquent…)
  • une sphère émotionnelle envahissante (réactivité émotionnelle intense, empathie plus développée, difficultés à vivre ses émotions, sentiment de montagnes russes émotionnelles…)
  • une sensibilité esthétique exacerbée (goût pour le Beau dans la Nature, l’Art,… conscience des subtilités de l’Environnement, ressources et affinités artistiques…)
Bien que largement employé, et issu de la traduction littérale de « highly sensitive person », je limiterai l’utilisation du terme hypersensibilité dont le préfixe « hyper », comme nous le partage Saverio Tomasella (créateur et chercheur de l’Observatoire de la Sensibilité, psychanalyste et docteur en psychologie), renvoie à une notion d’excès, de trop, voire confère une connotation pathologique à cette caractéristique.

Or, il est important de rappeler qu’on ne « diagnostique » pas un HPS car il ne s’agit ni d’une maladie, ni d’un trouble psychique qu’on soigne.
Pour être plus précise, je tiens à souligner qu’il peut toutefois exister un HPS « acquis » suite à une expérience traumatique, mais celui-ci conserve alors un caractère passager.

Les études démontrent aujourd’hui qu’à l’instar du HPI, les imageries médicales révèlent que le HPS se lit dans le cerveau. Cela se traduit par une plus forte activation de certaines zones cérébrales comme le cortex préfrontal dorsolatéral, l’insula antérieure, l’amygdale ou l’aire tegmentale ventrale.

Pour finir, on entend régulièrement que les personnes HPI sont hautement sensibles, or il est possible d’être HPI sans être hautement sensible, d’être hautement sensible sans être HPI, tout comme cumuler les 2 atypies ou n’en avoir aucune. (Au passage, rappelons que rien de cela ne définit votre valeur, et qu’aucune situation n’est meilleure qu’une autre !)

Comment savoir si vous êtes concernée ?

S’agissant de la méthode d’identification du HPS, des dizaines de d’autotests sont disponibles sur Internet, de qualité et fiabilité variables et ne garantissant pas l’absence de parasitages induits par les biais cognitifs (l’effet barnum pour ne citer que lui).
Pour certaines d’entre vous, les résultats d’un autotest suffiront à mettre des mots sur votre fonctionnement et à envisager cette atypie comme une donnée à prendre en compte plutôt qu’un lourd fardeau à porter.
Pour d’autres, le regard, l’accompagnement et l’analyse d’un·e professionnel·le formé·e sera plus utile, voire indispensable.

À ce titre, le « Bilan Haut Potenti’elle » que je propose permet non seulement d’identifier le HPI mais également le HPS. Ainsi, cette analyse permettra de vous donner des réponses sur ces 2 axes, ainsi que d’éventuelles pistes sur d’autres neuroatypies (TDA/H, TSA, troubles DYS…) que vous pourrez approfondir par la suite avec des spécialistes.
Au-delà d’apprendre si vous êtes concernée par une éventuelle atypie, cette analyse aura pour objet de vous proposer des pistes d’exploration en vue de comprendre, accepter, apprivoiser et vivre sereinement vos spécificités.

Là encore, il n’y a rien d’obligatoire à passer un test, cette étape n’est pas incontournable sur le chemin de l’acceptation de soi. Et si vous choisissez de passer ce cap, je vous encourage à porter une grande attention à la personne que vous choisirez pour vous accompagner dans votre démarche car c’est de cette alliance dont votre expérience émotionnelle dépendra.

Vous êtes intéressée ?

Je vous invite à consulter le détail ainsi que le déroulement d’un « Bilan Haut Potenti’elle ».

NB : Il existe des tests administrés par des professionnel·les qui permettent d’identifier de manière spécifique et exclusive la Haute Sensibilité. Si vous ne souhaitez pas avoir des réponses liées à un éventuel HPI ou si vous considérez que cela répondrait mieux à votre besoin, il existe un annuaire des professionnel·les formé.es par l’Observatoire de la Sensibilité et habilité.es à la passation de ce test.
Vous le trouverez en consultant ce lien : https://lasensibilite.com/annuaire/
Si le test que vous choisirez de passer est important, le·la professionnel·le qui vous accompagnera le sera encore plus !

03. Le Haut Potentiel Émotionnel

Le concept du « Haut Potentiel Émotionnel » (HPE) est controversé, décrié et parfois même nié. En 1990, les psychologues américains Peter Salovey et John Mayer ont théorisé le concept de l’intelligence émotionnelle, qu’ils définissent comme « une forme d’intelligence qui suppose la capacité à contrôler ses sentiments et ses émotions ». Puis, c’est le psychologue Daniel Goleman qui rendra le concept de « Quotient Émotionnel » populaire. Il définit quant à lui l’intelligence émotionnelle, comme “la capacité à percevoir, maîtriser et exprimer ses sentiments et ses émotions ainsi que ceux d’autrui.” Ma définition personnelle s’inspire de cette vision, toutefois, j’ai à cœur de ne pas utiliser les termes « gérer », « maîtriser », « canaliser » en ce qui concerne les émotions.
Je considère important de distinguer :
  • l’émotion qu’il est souhaitable d’accueillir, de vivre, de ressentir, d’accepter, de comprendre, etc.
  • le comportement que l’on adopte suite à cette émotion qu’il est possible de maîtriser / de gérer et de choisir en conscience. (Je n’ai pas dit que c’était toujours facile !)

Si cette nuance peut sembler anodine, porter attention à notre vocabulaire est fondamental à mes yeux car il reflète notre manière de penser et peut véhiculer des injonctions contreproductives. En l’occurrence, « gérer ses émotions » laisserait penser au cerveau que nous devons adopter une de ces stratégies inadaptées :

  • « Résister » à l’émotion en lui fermant la porte (effet cocotte-minute garanti !)
  • « Réagir à chaud », sans filtre, sans réflexion (souvent, on le regrette peu de temps après !)
  • « L’éviter » en faisant une autre activité (bonjour troubles alimentaires, addictions et autres comportements aux conséquences néfastes sur la santé et l’estime de soi !)

L’Intelligence Émotionnelle se situe donc au carrefour entre émotions et cognition.

Ainsi, je choisis de retenir la définition suivante :

le HPE désigne, non pas un trait de caractère inné (tels que le HPI ou le HPS) mais une capacité d’identifier, de comprendre, de communiquer et de vivre ses émotions, puis d’interagir avec celles des autres.
En tant que capacité, il est donc possible (souhaitable et profitable !) de la développer tout au long de sa vie, car parler le langage des émotions permet de s’épanouir seul·e et dans ses relations.

Plus précisément, je distingue les compétences émotionnelles dans son rapport à soi, et dans son rapport à l’autre.

Dans son rapport à soi, les compétences émotionnelles sont les suivantes :

la percevoir, la reconnaître, éventuellement la nommer.

la vivre pleinement, l’accepter pour ce qu’elle est, sans la mettre à distance, ni l’alimenter ; la laisser nous traverser.

identifier le déclencheur, décrypter et interpréter le message (le besoin nourri ou non), reconnaître son influence sur nos pensées.
l’extérioriser de manière saine, la verbaliser (seul·e ou face à une autre personne).
adopter un processus permettant de modifier l’expérience émotionnelle ainsi que les situations qui suscitent des émotions inconfortables afin de favoriser le sentiment de sécurité intérieure ou de mieux répondre aux exigences de l’environnement de manière intentionnelle.
faire de nos émotions une ressource en les utilisant à bon escient, en tirer des apprentissages pour ainsi prendre des décisions adaptées à notre sensibilité.

Dans son rapport à l’autre, les compétences émotionnelles sont les suivantes :

la repérer, l’observer, la reconnaître chez l’Autre, la décoder.

adopter un comportement d’ouverture et d’écoute face à l’émotion de l’Autre, l’accompagner à vivre et accepter pleinement son émotion (sans lutter, ni se laisser submerger).

considérer l’Autre avec sensibilité et empathie, se connecter à son vécu émotionnel ; se relier à ses sentiments et ses besoins derrière ses paroles et ses comportements.

communiquer de manière assertive, favoriser l’expression, le partage de l’émotion de l’Autre.

acquérir et mettre au service de l’Autre des techniques permettant d’accepter, de composer avec ses pensées et sentiments inconfortables tout en m’assurant du respect de mes propres besoins et limites.

placer la sensibilité, les émotions ainsi que les spécificités de chacun·e au cœur de l’action et de la prise de décision en vue de cultiver des relations respectueuses, fertiles et épanouissantes.

S’agissant de la méthode d’identification du HPE, considérant la vision que je choisis d’adopter – celle d’une compétence émotionnelle évolutive plus qu’une neurodiversité – cela me conduit à ne pas proposer d’identification à proprement parler dans le cadre du « Bilan Haut Potenti’elle » que je propose.
Néanmoins, dans le compte-rendu écrit pourront figurer des pistes relatives à des compétences émotionnelles à explorer qui vous permettront d’approfondir la connaissance et la compréhension de vous-même puis d’améliorer vos relations avec les autres

Déroulement d'un Bilan Haut Potenti'elle

Cette Analyse du Fonctionnement Cognitif et Émotionnel consiste en une évaluation qualitative destinée à explorer vos modes de fonctionnement cognitifs et émotionnels afin de détecter d’éventuelles neuroatypies comme le Haut Potentiel Intellectuel et/ou Sensible.

Cette prestation se présente sous la forme d’un entretien d’une durée de 2h30 à 3h00 et se déroule de la manière qui suit :

01. Échange préalable destiné à comprendre le contexte du questionnement ainsi que les facteurs environnementaux et individuels susceptibles d’influencer les résultats de l’évaluation (stress, pathologies particulières, traitement médicamenteux, fatigue, anxiété de performance, symptômes dépressifs, troubles neurodéveloppementaux comme un TDA/H, le TSA, etc.).

02. Explications liées à la série de questions qui va suivre.

03. Série de questions dont l’analyse des réponses ainsi que de leur formulation va principalement orienter sur la présence ou non d’une neuroatypie (Haut Potentiel Intellectuel et/ou Haut Potentiel Sensible).

04. Exercices visant à évaluer les compétences verbales, la métacognition, la capacité de mémorisation et la vitesse de traitement de l’information.

05. Exercice de créativité narrative.

06. Débrief et compte-rendu verbal de l’entretien « à chaud » ou dans les jours qui suivent.

07. En option : compte-rendu écrit.

Prix de la prestation :

sans ­Compte-Rendu écrit :

330 € TTC en visio

360 € TTC en présentiel

avec ­Compte-Rendu écrit :

420 € TTC en visio

450 € TTC en présentiel

Précision :
Cette analyse est différente du test WAIS IV que seul·es les psychologues et les neuropsychologues sont habilité·es à faire passer afin d’identifier le Haut Potentiel Intellectuel.
Pour information, le WAIS IV est le test officiel reconnu en France pour détecter le Haut Potentiel Intellectuel. Il s’agit d’un test de performance qui conduit à mesurer le Quotient Intellectuel d’une personne en fonction de son niveau de compréhension verbale, de raisonnement perceptif, de capacité de mémorisation et de vitesse de traitement de l’information. Les résultats du test WAIS sont chiffrés et consistent à fournir une indication quantitative standardisée de l’intelligence humaine.
À l’inverse, au-delà de l’identification d’un Haut Potentiel Intellectuel et/ou Sensible, un des objectifs de l’évaluation qualitative à laquelle je me suis formée est de présenter des clés de compréhension ainsi que des pistes d’exploration et de réflexion afin de vivre en harmonie avec vos éventuelles neuroatypies ou votre fonctionnement propre.

Les témoignages

Vous êtes intéressée ?

Je vous invite à prendre rendez-vous pour un Appel Découverte offert et sans engagement afin de voir si cet accompagnement peut vous être adapté.